Des morts avides de viande fraîches font règner la terreur dans la ville de Tokyo, pensez vous pouvoir survivre dans ce milieu hostile à toute forme de vie ou plus aucune loi n'as effet?
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 Gloire trépassée

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AuteurMessage
Alistair Hikari
Survivant(e)
Alistair Hikari


Messages : 31
Date d'inscription : 23/03/2010

Feuille de personnage
Taille: 1m85
Date RP: Jour 1 / 10h-11h
Arme(s) :: Un . . . Briquet ?

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MessageSujet: Gloire trépassée   Gloire trépassée Icon_minitimeVen 2 Avr - 23:13


Alistair enjamba une nouvelle fois la pancarte « entré interdite », Miruku fit de même avec une lenteur affligeante alors que Arok passa par dessous en bombant le dos pour que les maillons lui grattent l’échine.
Arrivé au deuxième étage assez rapidement, surtout pour Alistair qui lui avait envie de « voir » ce qui se passe, une odeur atroce vint lui agresser le nez. Outre le fait que son élève hurler à coter de lui et que son chien hurler, l’odeur agressif de sang et d’excrément qu’il sentait en face de lui ne pouvait signifier qu’une chose. La présence en face de lui était un zombie et il avait les vicaires qui dégoulinait du bide en plus.
Même si il n’avait pas la vision de la chose, l’émanation de la créature suffisait à lui faire s’imaginer qu’elle horreur il avait en face. Il tenta quand même de garder son calme, même si sa main tremblait. Il n’avait pas envie d’effrayer son élève et se voulait d’être son chevalier protecteur.

Jugeant que le monstre était encore à distance, il tira sur le coté du mur, une armoire à trophées entreposée ici. L’armoire, une fois mise en travers du couloir, bloquait quasiment toute sa surface. Prenant un moment sous souffle, se fessant à l’idée que cette première confrontation avec cette chose se solderait par une victoire, il attendit que la créature touche le meuble pour le faire basculer. Mais l’abomination n’allait pas se laisser faire, elle bloqua l’armoire de se bras meurtries et tenta de la relever. Alistair tenta de l’écraser en opposant sa force à la sienne, mais même si Alistair était doué d’une force supérieur à la moyenne, la créature parvenait à lui résister. Il rumina et ses veines saillissaient sur son cou jusqu’à ce que Miruku, reprenant courage de voir son professeur se battre, posa ses mains sur l’armoire pour l’aider. Alistair, soulagé que son élève lui fasse confiance, donna un à-coup pour déstabiliser le zombie, recula de l’armoire avant de rentrer dedans de toute ses forces en donnant un coup d’épaule. Les bras du zombie cédèrent sous la violence, lâchant prise et son corps s’écrasèrent sous l’armoire, laissant du sang se répandre par dessous.

Alistair s’appuya contre le mur comme il l’avait fait tout à l’heure en classe, mais cette fois si la tête baissée, il reprenait son souffle. Non pas que physiquement se fut éprouvant, mais mentalement si. Miruku le suivit de concert, avachit contre le mur alors que son chien lui, était assit au sol et regardait son élève en remuant la queue. Visiblement, il n’avait pas tout compris et n’avait même pas agis, et de toute manière, ne pouvait pas. Reprenant possession de lui, il se redressa de sa posture soumise et faible et entra dans la classe où il avait laissé ses affaires. Il accrocha sa bandoulière à son épaule et revint vers Miruku qui semblait elle aussi avoir reprit ses esprits. Elle le regarda interloquée.


« Pourquoi avez vous pris votre sacoche ? Vous pensez vraiment que vos cours vont encore servir dans un moment pareille ? »

« Hé bien, j’ai lu pas mal de livre qui parlait de ça, et dans le plupart une chose venait toujours se laisser dire «Prend tout ce qui peut servir» Alors je prend les devants. Et puis j’ai la clé de ma moto dans ma sacoche aussi. »

« Je vois . . . »

Alistair sourit à Miruku et lui tapota sur l’épaule, lui faisant signe de le suivre. Il dévala alors l’escalier pour se rendre au première étage . . . Qu’allait-il leurs arriver maintenant ?

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