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 Le commissariat.

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Psymon Starks
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MessageSujet: Le commissariat.   Le commissariat. Icon_minitimeMer 17 Fév - 16:14

[Début de Psymon]
Environ de 13h à 18h30


Psymon était sortit de sa manufacture de fabrique de vêtements où il s'était réfugié, tous les cinq mètres il effectuait une vue globale des alentours. Tout autour de lui, entre les voitures abandonnées et les camions encastrés les magasins, vagabondaient des abominations de la nature, déjà que Psymon méprisait les être humains comment devait-il réagir devant une bête assoiffé de sang à l'apparence humaine, quoi qu'un peu amochée.
Psymon, le dos recourbé et les sens à l'affut de toutes présence autour de lui, marchait en zig-zagant dans la rue entre les cadavres et les voitures, évitant de se faire voir des monstruosités qui gravitaient autour des cadavres d'automobilistes démembrés, éventrés, les viscères éparpillés de part le trottoir, certains même ne ressemblaient plus à des choses qui étaient vivants il y a quelque heures tellement les infectés s'étaient acharnés sur eux.
Psymon était serein, même s'il était encerclé par des êtres immondes et insatiables, son pou était irrégulier mais Psy essayait de rester calme. Il devait ramper sous les voitures, monter discrètement aux dessus des semi-remorques pour ensuite ramper dans les vomissures de sang des victimes encore incarcérés dans les autos.
Arrivé à un intersection, Psymon hésita, devait-il poursuivre son escapade ou devait-il rentrer et trouver un endroit sécurisé en attendant que cela ce tasse? Il tourna sur 360°, observant chaque petit détail autour de lui et, une lueur se fit, c'était un panneau sur lequel était inscrit "Commissariat", coup de chance ou pas Psymon se dirigea dans la direction indiquée. Parcouru cinquante mètres, il du s'arrêter, une horde d'une vingtaine de Morts-vivants s'agitait devant lui, ils étaient occupés apparemment à déguster les met raffinés encore attachés dans un bus scolaire. Psy contourna le spectacle par la gauche et recommença sa marche en direction du commissariat quand tout à coup une jeune femme qui s'était cachée sous une voiture sauta sur Psymon. Pris par surprise il tomba au sol, l'entrainant dans sa chute, elle ne cessa pas de crier elle voulait que Psymon l'aide à s'enfuir. Lui faisant signe de se taire Psymon l'attrapa par les joue et lui compressa la mâchoire afin qu'elle ai la bouche ouverte et qu'elle fasse moins de bruits.


-"Taisez vous ou vous allez finir par être le prochain repas de ces bestioles", dit-il en montrant du doigt la quelque vingtaine de morts-vivants.


Il relâcha doucement la mâchoire de la dame et la regarda plus attentivement. Et voilà, c'était arrivé, il avait dû parler à un être humain, un contact qu'il ne souhaitait sous aucun prétexte, mais bon vu la situation il devait faire un petit effort. Psymon lu dans les yeux de la jeune fille la peur, la désolation et le désespoir, s'attardant sur son fin visage qui lui paraissait angélique, il passa sa main dans les cheveux de cette demoiselle et les porta devant son nez afin de les sentir. L'inconnue était complétement dépassée, elle ne comprenait pas ce qu'il faisait, mais en même tans, en était-elle à se douter qu'elle était en face d'un dérangé mental, une personne dépourvu de sens et de compassion?

Les deux personnages ne bougèrent plus pendant quelques secondes, puis en voyant qu'elle n'avait pas gagnée le gros lot elle se leva et l'invita à suivre sa marche, Psymon l'attrapa par la main et la tira brusquement vers lui. Elle s'avachit sur le bitume pendant que Psy en faisait autant, il montra du doigt le commissariat puis commença à ramper, arrivés a mis chemins, ils roulèrent sous une camionnette et observèrent les alentours quand tout à coupla jeune femme; tiré vers l'arrière disparut subitement.
Psymon regarda derrière lui et vit qu'elle s'était faite attrapée par l'un des leurs. S'activant d'avancer Psymon remarqua que ces bestioles plus qu'immondes l'avaient aussi prit en chasse.

Psymon se mit à courir comme jamais, mais les longue journées passées dans une salle pas plus grande qu'un chiotte ne l'avait pas encouragées à pratiquer un sport. Psymon essayait tous ce qu'il pouvait, il sautait au dessus des voiture mais de plus en plus de bruit ce faisait et donc de plus en plus d'immondices rappliquaient, en se pressant de courir plus vite, Psy arriva devant la grille du commissariat, pendant qu'il ouvrait celle la il jeta en regard en arrière et vit la lenteur des désolante bébêtes qui l'avaient poursuivit.

Après être entré dans le hall principal Psymon du courir plus vite qu'il le pu. Et oui ce n'était pas venu qu'a lui l'idée de venir au commissariat et donc, il se retrouvait avec une dizaine de Morts aux trousses,la suite de sa course se solda par un échec... Mais pas un gros échec car effectivement Psymon avait réussi à se barricader tout seul dans une salle mais en plus c'était le dépôt d'armes du commissariat. Ni une ni deux Psymon s'empressa de fouiller tout les cartons mais d'autres personnes avaient du passer avant lui car il n'en trouva qu'un remplit, il fouina dans le seul carton restant, sur ce carton était inscrit "Special.Army.Intervention", il y trouva des Cartouches gauge shotgun shells énorme accompagnées par le plus gros Fusil à pompe que Psymon ai vu à se jour... Un "Fusil Ithaca M37" équipé d'une lampe et d'un viseur spécial.


Psymon attrapa les quatre sacoches de munitions, qui n'étaient pas si légères que ça et empoigna l'arme. Maintenant la chose qui restait à faire était de se lever et de tuer les détritus vivants qui devaient surement l'attendre devant la porte.... Mais l'envie ne l'en prit pas il décida de ruser, il y avait une trappe au plafond mais Psymon n'arriverait jamais à l'atteindre, pendant que les morts-vivants grattaient sous la porte et la tambourinaient pour qu'elle s'ouvre Psymon se mit en face de la celle ci et.....


Dernière édition par Psymon Starks le Dim 21 Fév - 11:22, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Le commissariat.   Le commissariat. Icon_minitimeLun 1 Mar - 23:16

[Environ de 18h30 à Minuit]

pendant que les morts-vivants grattaient sous la porte et la tambourinaient pour qu'elle s'ouvre Psymon se mit en face de la celle ci et tira quelques coups de fusils, rechargeant aussi vite qu'il le pouvait mais c'était comme si les bête ne ressentaient rien, chaque coups porté à travers la porte renforçait la fureur des monstres et réduisait de plus en plus la porte en charpie . Ne sachant plus quoi faire Psymon poussa les étagères devant les restes de la porte afin de ralentir provisoirement la progression des abominations mais plus il essayait de faire vite, plus il se raidissait, alors le vide se fit dans son esprit et il se calma et reprit une attitude sérieuse, jetant des regards dans toute la pièce il aperçut enfin une sortie mais elle était dur d'accès car en effet elle se situait dans les conduit d'aérations.

Ni une ni deux Psy saisit une chaise et grimpa dessus, il arriverait sans doute à l'atteindre en sautant mais quand il fut enfin près, le fusil bien attaché dans son dos avec la sangle, après tout ces préparation mental à fuir lâchement la porte lâchât brusquement, faisant voler les étagères les Morts-vivants avançaient, certes doucement mais cela suffisait à Psymon car ils n'étaient plus qu'à trois mètre quand il décida de prendre son courage à deux main et d'être la chose qui serait la plus dangereuse de toutes celles qui étaient en se bas monde.
Dans un excès de fureur il jeta la chaise sur le groupe de morts et fit glisser son fusil dans ses mains, chargeât et tira. Il dut reéffectuer cette action plusieurs foix jusqu'à ce qu'il réalise que le restant de ses cartouches étaient dans l'une des sacoches qu'il avait prises, dans un mouvement brusque il recula vers l'arrière de la pièce et prit une poignée de cartouches.

Ils n'étaient plus que cinq devant lui, cinq machines à tuer qui en voulaient à ses tripes, alors Psy Recommença a tirer mais il redoutait que le bruit en ramène de plus en plus alors il fit reculer les bêtes à coup de M37 et quand il furent tous asse près de la porte, il tira sur le conduit d'aération, celui ci leur tomba lourdement dessus entravent la porte et c'est alors que Psymon décida de s'insérer à l'intérieur.
A l'abri pour quelques temps Psy en oubliât presque la faim et la peur mais il devait tenir s'il ne voulait pas mourir, pensant la nuit des cris monstrueux retentissaient dans les rues, sans doutes des survivants en fuite mais Psy était trop occupé à écouter tous ce qu'il se faisaient dehors. Il était perdu dans les conduits, l'obscurité l'entourait comme si elle voulait l'engloutir pour ne plus jamais le délivrer. Mais Quand il réveillât quelques chose d'encore plus éprouvant que la journée d'hier aller survenir et qu'il devrait surmonter... Aujourd'hui !
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MessageSujet: Re: Le commissariat.   Le commissariat. Icon_minitimeMer 3 Mar - 23:03

Se croire en sureté dans les conduits d’aération est une très mauvaise idée…

Alors que Psymon avançait lentement dans le conduit métallique, les zombies suivaient sa trace en marchant dans les couloirs.

La situation du Commissariat n’avait fait qu’empirer au fil des heures.Place sûre aux premières heures de la matinée, le commissariat,maintenant , n’était qu’un lieu ou la mort régnait en maître.Le Hall d’entrée, autrefois si impressionnant avec ses palmier en pots, grand de plusieurs mètres, ses grandes baie vitrées, ses multiples
guichets tous ornés de blasons scintillants , n’était maintenant que l’entrée d’un musée morbide.Des cadavres mutilés à l’extréme, du sang recouvrant les moindres aspects du hall.
Vous trouverez peut être des matraques en fouillant les cadavres les plus repoussants.


Les bureaux situés au rez-de-chaussé , plongés dans l'obscurité de part ses volets fermés, sont vides de vie.Certains ordinateurs marchent encore, et , avec un peu de chance, vous trouverez quelques armes de poing à moitié chargés et des lampes torches en fouillant les box.

Le Premier étage fut le théâtre d’un affrontement sanguinaire et meurtrier.Poche de résistance jusqu'à midi, l’étage est maintenant vide de toute résistance, avec la fuite des derniers policiers.

Toutes les pièces de l’étages sont marqués par le combat.Vous trouverez sûrement quelques armes lourdes dans les piéces.

En tout cas, Psymon était à mi-chemin de la sortie lorsque les clous en acier qui tenaient le tunnel sautèrent.La bouche d’aération se brisa en deux partie, et Psymon fit une légère chute amortis par le faux plafond.Ce dernier céda sous son poids, et il tomba plus lourdement sur un sol en béton.

Psymon venait de tomber dans la zone de détention.Une grande salle en béton, hauteur de plafond 2 mètres 30.La salle est remplie par 12 cellules de garde à vue.Deux portes permettent de sortir d’ici : une, sur le mur ouest, à coté d’un extincteur, permet d’atteindre l’escalier central, et
donc le reste de l’établissement.L’autre porte , sur le mur est, permet d’atteindre le bureau du gardien.Les détenus étaient tous zombifiés.La plupart était tous
enfermés , mais dans sa chute, la main de Psymon appuya sur un tableau de commande.


C’est alors que les douzes cellules s’ouvrirent dans un grincement horrible.Les 20 zombies se mirent en marche .Quand Psymon prit conscience de la situation, la moitié des zombies étaient déjà sortis de leurs cellules.Ils se trouvaient à 3 mètres de lui.

PS: Je te laisse visiter cette zone dans ce topic .Mais dés que tu empruntera la porte menant à l'escalier central, tu devrais créer un nouveau topic.Pour visiter le bureau du gardien, MP moi et je posterais à la suite de ton post =)
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MessageSujet: Re: Le commissariat.   Le commissariat. Icon_minitimeJeu 4 Mar - 14:51

C’est alors que les douze cellules s’ouvrirent dans un grincement horrible.Les 20 zombies se mirent en marche .Quand Psymon prit conscience de la situation, la moitié des zombies étaient déjà sortis de leurs cellules.Ils se trouvaient à trois mètres de lui.

Tous bien réfléchit, rester une minute de plus dans cette endroit lugubre était du suicide à l'état pure. Psymon empoignât son M31, il lui restait deux sacoches presque pleines de munitions pour son M37 mais il savait que ça ne suffirait pas.
-"Dans quel pétrin me suis-je encore mis ?" pensât-il en observant les détenus Zombifiés qui avançaient lentement dans sa direction. N'ayant pas le temps de trop réfléchir à sa situation, Psymon chargeât son arme et tira dans le groupe de Morts qui se dirigeaient vers lui le recule le fit reculer de quelques centimètres mais, environ cinq d'entre eux vacillèrent pour aller se fracasser contre les barreaux qui se trouvaient derrières ceux ci mais deux d'entre eux, encore en état de bouger, continuèrent leurs chemin en rampant.
Psymon avançât légèrement et visât le crâne des abominations qui se tenaient devant lui puis il tirât,
-" Et quatre en moins" s'exclamât-il en souriant.
Les autres détenus qui restaient à cette étages n'avaient pas encore pénétrés dans la cellule où Psymon se trouvait et une idée lui parvint, se hâtant d'exécuter son plan il reculât et décrochât les chaines qui tenaient la planche de métal qui servait à dormir et la prit. Tenant son fusil d'une main et la planche de l'autre Psymon attendit qu'un bon nombre de Morts entre dans la pièce, puis se mit dans un angle afin de ne pas recevoir de coup de la part des horreurs suintantes.
Laissant son canon dépasser afin de tirer il dut très vite renverser la situation sinon il allait finir en compote, il glissât son bras en sécurité, mit son pied contre la plaque de tôle et poussât le plus fort qu'il put. La quelque dizaine de Zombies qui résidait dans la cellule était trop occupé à se bousculer afin d'avoir sa part du butin qu'ils n'eurent pas le temps de comprendre où est-ce que Psymon avait put passer... Rasant le mur en maintenant la plaque de tôle à son corps, Psymon sortit de la cellule, envoyât la planche sur le groupe de mort, prit l'extincteur et leur jeta dessus.

-" CREVEZ SALETÉS DE ZOMBIES DE MES DEUX", ni une ni deux, Psymon recula et tira dans l'extincteur que se trouvait à leurs pieds ou du moins à se qui leurs restaient en guise de pieds. Le souffle fut si violent que même lui fût souffler quelque centimètres en arrière et tombât, les Onze Zombies qui étaient il y à quelques secondes regroupés au milieu de la cellule étaient maintenant éparpillés en partie dans la pièce et certain même sur le et sur le sol, quelques uns étaient encore en état de bouger mais Psymon tira dans l'interrupteur qui se trouvait à l'extrémité de la pièce, il émit une gerbe d'étincelles puis le porte des cellules se fermèrent. Soulagé Psymon se relevât et se dirigea vers la porte de sortie, sa mésaventure avec ce groupe de détenus Goulifiés lui avait laisser des courbatures aux niveau des épaule mais il devrait vite s'en remettre car il ne sais pas se qui l'attendait sur le chemin de la sortie mais se dont il était sur c'est qu'il allait le savoir très rapidement.


Dernière édition par Psymon Starks le Jeu 4 Mar - 15:48, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Le commissariat.   Le commissariat. Icon_minitimeMar 9 Mar - 21:11

A suivre dans "Extraction" forum rues
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