Des morts avides de viande fraîches font règner la terreur dans la ville de Tokyo, pensez vous pouvoir survivre dans ce milieu hostile à toute forme de vie ou plus aucune loi n'as effet?
Des morts avides de viande fraîches font règner la terreur dans la ville de Tokyo, pensez vous pouvoir survivre dans ce milieu hostile à toute forme de vie ou plus aucune loi n'as effet?
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le forum change d'adresse : http://rotd-rebirth.forumactif.com/ " Venez nombreux! "
Le Deal du moment : -40%
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + ...
Voir le deal
29.99 €

 

 Bienvenu en enfer !

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Ray Hawkas
Survivant(e)
Ray Hawkas


Messages : 24
Date d'inscription : 16/02/2010

Feuille de personnage
Taille: 1m65
Date RP: Jour 1 : 12h
Arme(s) :: M4A1, Baretta 92FS, Couteau tactique

Bienvenu en enfer ! Empty
MessageSujet: Bienvenu en enfer !   Bienvenu en enfer ! Icon_minitimeLun 24 Mai - 16:09

événement précédant

Aux environs de 12h

Les chinook survolés Tokyo, formation en ligne, les pilotes et co-pilotes cherchaient à travers leur vitrines une ZA dégagé . Malheureusement, aucune ne semblait valable, les véhicules abandonnés étaient un gros problème, mise à part les déplacer, aucun autre moyen d'avancer au sol en véhicule .

Rangers 1 : Si seulement on avait un char Abrams sous les mains, je pense qu'on aurait plus de problème .

Rangers 2 : Ouais, faudrait faire la commande, ou limite un Stryker car je pense pas que notre ange gardien à chenille passerait les rues .

Lieutenant Alendo : On se débrouillera avec ce qu'on a et puis, il nous faudra laissé les véhicules au bout d'un moment mais pour l'instant, il faut rester concentré .

un des rangers sortit du Hum-Vee et regarda à travers un hublot, il regarda en bas et vit quelques silhouettes humaines . Un peu plus à l'écart, il vit un homme étendu sur le sol et quatre autre qui l'entourait . Lui faisait-il des gestes de premier secours ? Non, lorsqu'il regarda plus attentivement, il vit du sang éparpillé autour et des mains se balader sur le corps, ou plutôt dans le corps cherchant ce qui pouvait être digestible . Devinant cette révélation, le rangers eut comme un malaise, il sentit son ventre gonflé d'un coupet sentit comme un grand coup à l'estomac, les yeux tout écarquillés et la respiration qui eut un rythme irrégulier lui fit perdre l'équilibre . Ray le vit tombé, il sortit du véhicule et l'aida à se relever .

Ray : Qu'est-ce qui vous arrive caporal ?

Caporal Oz : Il......Il y'a......Des zombies en bas.....Ils sont.....En train de dévorer un civil....

Le faisant repensant à ces images, il eutu n deuxième malaise, Ray vit bien que par ces symptômes il allait vomir, il demanda un sac à l'un des membres d'équipages qui lui en donna un qu'il mit sous la bouche de son coéquipier . Lopez dégueula en un instant, voulant s'en débarrasser le plus vite possible de ce malaise et qu'il passe, il fallait bien le faire . Une fois finit, il se releva lourdement, reprenant un peu ses esprits . Il grimpa dans l'un des Hum-Vee et s'allongea à l'arrière du 4x4 . Ray, ayant toujours le sac éxamina à travers les hublots ce qu'il se passait en bas, ce n'était pas beau à voir, certaines maisons brûlaient déjà et des véhicules étaient renversés sur les routes probablement dû a une forte manoeuvre d'évitement, c'était le beau paysage désastreux d'une catastrophe qui ne laissait rien de bon, il ne manquait plus que la nuit . Là, ils espéraient être de retour à la maison avant le couché du soleil . Puis vint une transmission radio, l'interlocuteur était un officier du JOC, Joint Operation Center .

Officier JOC : Ok messieurs, on vous a déjà résumé la situation, comme vous le savez c'est presque le chaos total qui se propage à grande échelle, nos troupes sont très vite débordés et vous êtes le seul groupe de combat à être 33 . Donc on compte sur vous pour nous aider le plus possible . Nous avons répartit l'équipe en
6 groupes, 3 groupes de 6 et 3 groupes de 5, le groupe des rangers aura le nom de code Alpha, les SEALS, bravo, et les autres groupes de marines auront Charlie, Delta, Echo et Kilo . Le leader de cette unité est le lieutenant Alendo, lieutenant, vous avez la responsabilité du groupe mais cependant, vous restez tous sous les ordres d'un autre supérieur hiérarchique . Des questions ?


Lieutenant Alendo : Oui, pourquoi j'ai été choisit comme leader ?

Officier JOC : Parce que vous avez le grade le plus haut dans toute cette équipe et selon vos talents de tacticiens qu'on a lu sur votre dossier, vous avez été le parfait élu . Connaissant bien les Rangers, je présume qu'on vous a donné votre brevet après un brillant commandement non ?

Lieutenant Alendo : Oui monsieur, tout à fait .

Entendant toute la conversation, Ray fixa Alendo d'un air curieux, il lui semblait de plus en plus mystérieux et intéressant à la fois, lié au secret défense, il devait bien avoir quelques petits secrets .

Officier JOC : Bien, d'autre quest.........

Pivot 1 Co-Pilote : ATTENTION !!!! A DROITE !!! Y'au n truc qui fonce droit sur nous ! répliqua-t-il instantanément .

A cet investissement, tous regardèrent vers les hublots ce qu'il y'avait, tout d'abord, ils virent une forme imposante qui grossissait à vue d'oeil et semblait se rapprochait de plus en plus . Ne voyant encore la silhouette, Ray entendit tout de même un bruit assourdissant, le bruit d'un moteur à hélice assez gros . De suite, Ray alerta le pilote qui lui aussi regardait l'engin qu'il n'arrivait pas bien à apercevoir de son côté .

Ray : AVION DE LIGNE EN APPROCHE !!!

Pivot 1 Pilote : OK !!!! On dégage ! A tout les pivots, manœuvre d'évitement ! Avion civil en approche sur la droite ! Dégagement SEC !

De suite, le premier Chinook dégagea brutalement sur la gauche en remontant suivit des autres, le pilote eut du mal à reprendre les commande, le CH-47 n'est pas un hélicoptère d'acrobatie ce qui fit bouger violament tout ce qu'il y'avait à l'intérieur . Tout les soldats s'accrochèrent à ce qu'ils pouvaient s'agripper, le caporal Lopez, qui venait de vomir, le refit mais dans le Hum-Vee et sans sac . Certains étaient collé sur les hublots et virent passé l'avion de ligne sous le chinook .

Rnagers 1 : NOM DE DIEU !!!!!

Tous écarquillèrent les yeux et restèrent la bouche grande ouverte . le pilote et le Co-Pilote eux ne devaient pas se laisser aller par l'effet de surprise et tenir leurs manches et serrèrent fermement les dents tentant de reprendre de l'altitude . Après quelques passages de droite à gauche, ils reprirent le contrôle . le pilote souffla et le Co-Pilote se précipita de regarder derrière lui .

Pivot 1 Co-Pilote : Tout le monde va bien ?

Certains levèrent le pouce, signe d'affirmation après cette grande bousculade .

Sergent Nikolaï : Ouais.....IMPEC !!!! merci pour le rodéo !

Ray : Ouais....Sa peut aller...

Alendo lui, resta figeait, sans réaction, prit par l'effet de suprise, il avait les yeux tout globuleux et respiré la bouche grande ouverte à un rythme tonique avant de reprendre ses esprits dans un éclat de tonnerre s'acharnant en cognant sur le volant .

Lieutenant Alendo : Oh PUTAIN !!!! Mais qu'est-ce qui se passe ici ? C'est le 11 septembre ou quoi ?!

Sous la tension qui monté, il était vraiment furieux mais essaya de reprendre ses esprits, petit à petit .
Revenir en haut Aller en bas
Kunio Harrison
Survivant(e)
Kunio Harrison


Messages : 18
Date d'inscription : 08/05/2010
Age : 39
Localisation : Lille

Feuille de personnage
Taille: 1m82
Date RP: jour 1, 12h
Arme(s) :: carbine M4, pistolet M9

Bienvenu en enfer ! Empty
MessageSujet: Re: Bienvenu en enfer !   Bienvenu en enfer ! Icon_minitimeDim 30 Mai - 15:18

Lundi 13 novembre, 12h

Le vol jusqu'au nord de Tokyo n'avait pas pris quinze minutes. A présent ils tournaient en rond pour trouver une zone d'atterrissage claire. Entre les lignes électriques, les lampadaires et véhicules abandonnés au beau milieu des routes cela n'allait pas être une partie de plaisir. Ils auraient pu trouver assez facilement un toit d'immeuble sans antennes pour débarquer le personnel, mais cela aurait voulu dire se passer des hummers et de toute ce qu'ils transportaient de munitions ou de matériel sanitaire. Pour le moment le lieutenant n'avait pas l'air très enthousiaste à cette idée, alors ils attendaient d'avoir trouvé une autre option.
Harrisson tripotait nerveusement le scanner de la radio embarquée. Les forces au sol semblaient plongé dans un chaos total, la police était débordée par un ennemi trop nombreux, qui commençait déjà à infester toute la ville et qui refusait obstinément de se plier à quoi que ce soit d'autre qu'une balle dans la tête. Il brûlait de connaître la situation à l'extérieur, là où les forces d'autodéfense japonaises devaient être en train de se déployer. Les militaires, mieux armés, plus organisés, établissaient probablement périmètre pour accueillir les réfugiés et empêcher l'épidémie de gagner du terrain hors de la ville. Si une seule de ces zombies venait à passer entre les mailles du filet il suffirait à contaminer Yokohama ou Saitama et ils seraient bons pour dix millions de morts supplémentaires. Malheureusement la portée n'était pas suffisante pour les écouter. Ils ne pouvaient compter que sur eux.

Le sergent Jones était parti à l'avant avec la carte, dans le cockpit du Chinook, et essayait de faire le point sur leur position et celle où ils allaient pouvoir toucher le sol. Dremond était assis à la place du conducteur. Il avait l'air soucieux, mais concentré. Sauf pour ses mains. Elles étaient blanches à force de serrer le volant. Harrison ne pouvait pas le blâmer, n'importe qui serait nerveux à s'en faire un ulcère dans une situation pareille. Ce n'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de vivre dans un de ses cauchemars de gosse, pas vrai ? Bahr tuait le temps en vérifiant une cinquième fois la 7.62. Pas que l'arme soit idéale pour les "
headshots" mais elle pourrait nettoyer un tas de morts-vivants s'ils se retrouvaient encerclés, quitte à laisser quelques demi-zombies en circulation.

D'un coup l'hélicoptère fit un véritable bond et parti sur la gauche alors qu'un rugissement se faisait entendre. Dremond resserra encore sa prise sur le volant alors que son passager était jeté contre la porte. Derrière eux un grognement Harrison entendit un choc et un grognement.


"Merde, on a été touchés !"

A peine ces mots étaient-ils sortis de sa bouche qu'il se rendit compte combien il avait été stupide.

* Calme-toi, vieux. Les zombies n'ont pas de lance-missiles. S'ils en avaient ils ne sauraient pas quoi en faire. Heureusement, sinon on y serait jusqu'au cou *

"Tout le monde va bien ?" demanda-t-il au groupe.

Les marines avaient été secoués, mais ils étaient entiers. Bahr avait été projeté tête la première contre la mitrailleuse et s'était bien amoché le nez et les lèvres. Il serait certainement moins séduisant s'il revenait de cette mission. Sûrement douloureux, mais ça ne l'empêcherait pas de continuer. Leary avait déjà sorti le kit de secours pour lui confectionner un pansement qui l'empêcherait au moins d'en foutre partout.
Jones fit irruption dans le compartiment de transport


Dremond "Il s'est passé quoi bordel, sergent ?"

Jones "Tout le monde est entier ? On a failli prendre l'avion. Des pilotes civils ont du essayer de se faire la malle, mais visiblement les contrôleurs aériens étaient avec eux. Ces cons nous ont foncé droit dessus, on l'a échappé belle. Je sais même pas ce qu'ils foutaient à cette altitude, ils vont se prendre un immeuble à voler comme ça."
Revenir en haut Aller en bas
Ray Hawkas
Survivant(e)
Ray Hawkas


Messages : 24
Date d'inscription : 16/02/2010

Feuille de personnage
Taille: 1m65
Date RP: Jour 1 : 12h
Arme(s) :: M4A1, Baretta 92FS, Couteau tactique

Bienvenu en enfer ! Empty
MessageSujet: Re: Bienvenu en enfer !   Bienvenu en enfer ! Icon_minitimeMar 8 Juin - 19:11

Tous reprenait peu à peu leurs souffles restant choqué d'avoir vu un boeing 747 d'aussi prés en pleine altitude . Le chinook avait du mal à reprendre une manoeuvre normal, il basculait encore à droite et à gauche jusqu'à ce que le pilote puisse reprendre le contrôle total de l'appareil . Les autres, qui pouvaient enfin se relever mais lourdement à cause de leur barda râlèrent et trouvèrent qu'ils s'en prenaient déjà plein la tronche .

Rangers 1 : Mais il est malade ce mec ! Où il a eu son brevet de pilote ?

Rangers 2 : Dans une pochette surprise pardi !

Le Co-Pilote lui faisait des appels radios aux autres pour savoir si sa allait bien, du niveau de Pivot 2 oui mais Pivot 3 semblait avoir des problèmes à reprendre de l'altitude .

Co-Pilote 1 : Pivot 3 ! Où est-ce que vous êtes ? On vous a perdu de vue !

Pilote Pivot 3 : ici Pivot 3 ! On a dû éviter le gouvernail et dégager plus sec mais on perd de l'altitude maintenant !

De suite, le Co-Pilote regarda par les visières du bas si il ne pouvait pas distinguer le troisième chinook . Les autres soldats firent de même en regardant à travers les hublots . Alendo sortit du Hum-Vee, regarda à travers la vitrine et aperçu Pivot 3 en train de foncer droit vers les grattes ciels . Bien qu'il ne soit pas pilote, il savait très bien qu'un chinook n'est pas fait pour voler entre les buildings . De suite, il tendit le bras vers la radio et les avertit du mieux qu'il pouvait d'une vois stressante et tendue .

Lieut.Alendo : Attention ! Vous foncez droit vers les grattes ciels ! Dégagez de là avant que vos hélices ne tapent dans les vitres !

Pivot 3 : Oui ! On commence à redresser !

Enfin, le Co-Pilote put voir la situation de Pivot 3 mais il voyait qu'ils faisaient une erreur dans leur manoeuvre, effectivement, en redressant, l'hélicoptère continuait de basculer vers le côté des immeubles .

Co-Pilote : Non ! Dégagez en sens inverse avant que ......

Trop tard ! Les hélices se tordirent en se prenant les vitrines qui partirent en éclat éparpillant des bouts de verres partout et le chinook partit s'emplâtrer en plein dedans . Délicatement, Pivot 3 commença à basculer vers le vide . Tous regardèrent la scène craignant les événements à venir, sur la radio, on pouvait entendre les passagers de Pivot 3 qui se disaient de se cramponner . Alendo voyant ça, voulait pas y croire, il espérer que le Chinook reste planté à cette étage que de tomber en chute libre vers le sol . Ce fut malheureusement sa crainte qui arriva, le chinook tomba comme une pierre. le long de sa chute, l'hélico pivota, tous furent choqués s'imaginant qu'ils y'en avaient déjà qui devaient avoir la tête au plafond suivit des Hum-Vees qui devaient les avoir écrasé . Simultanément, l'avion et le chinook s'écrasèrent, le crash de l'avion de ligne fit un bruit tellement bruyant qu'on pouvait l'entendre jusqu'aux hélicos . Certains, voyant le terrifiant spectacle se passer se laissèrent tomber en arrière, respirèrent à pleine bouche, les membres tout tremblant, leurs tête ne cesser pas de revoir ces images qui vont leur rester pendant longtemps encore dans leur conscience . Là, Ray et Alendo étaient debout, ne pas croire qu'ils n'étaient pas ému de ce qu'il venait de se passer non encore loin de là mais avoir l'habitude de l'effet de surprise, sa laisse quelques réactions que ne feraient pas certains .

Ray : Engagez-vous......Qu'ils disaient.....

Alendo : J'aurai dû prendre ma retraite .

Les autres rangers se tournèrent vers leurs leaders, l'air très inquiets des actions à venir .

Rangers 3 : Eh......Chef.....On retourne au pays avant Noël hein ?

Alendo : J'espère....

Alendo s'essuya la sueur sur son visage, il sentait que la situation monté de plusieurs crans de minutes ne minutes . Mais quelque chose vint le rassurer, c'est quand il entendit des appels de rescapé essoufflé et mourant .

Marines : Ici.....L'équipe....Echo..On a besoin d'un coup de main, on est bloqué.....Les Hum-Vees nous sont tombés dessus.....On a déjà des morts....Demande d'évacuation d'urgence, nous ne sommes plus en état de....Combattre...Bonne chance les m........

Le Marine qui les avait contacté, mourut par la suite, entendant ses inspirations étranglés et le silence qui y régnait, il ne devait plus être de ce monde . Il avait utilisé ses dernières forces pour au moins avertir qu'il y'avait des survivants . Alendo lui, ne resta pas sans rien faire, il ne fallait pas attendre face à des soldats qui sont, sous ses responsabilités, à porter de la mort .

Lieut.Alendo : On a trouvé une ZA ?

Pilote : Non pas encore ! Mais je pense qu'il n'y en a aucune dans le coin je pense qu'......

Lieut.Alendo : Bon tant pis ! On va descendre en rappel ! Ouvrez la porte latéral !

Pilote : Mais vous ne pouvez pas laissez les véhicules ici .

Là, il avait raison, Alendo sélectionna deux soldats de son unité .

Lieut.Alendo : Ray ! Oz ! Descendez avec moi ! Allez ! Sergent Nikolaï ! Vous venez, prenez un gars avec vous et dites à Pivot 2 de faire de même en route !

Nikolaï : Mais que va faire le reste ?

Lieut.Alendo : Ils vont rester dans le chinook le temps qu'ils trouvent une ZA et ils nous rejoindront maintenant en avant ! Oz ! Vous êtes où ?

Le caporal Oz, encore secoué et étourdie par ce qu'il avait accumulé avait une sacrée tête d'une personne qui venait de boire, les yeux mi-clos, les bras qui gigotaient et il ne tenait pas bien debout .

Caporal Oz : J'suis là chef, j'dois juste retrouver mes esprits, j'ai la tête qui tourne .....Aaaah ! Putain ! J'espère que c'est pas une migraine .

Le chinook resta en mode stationnaire non loin de la zone du crash . Le membre d'équipage du CH-47 ouvrit la portière latéral et descendre le harney et laissa la place aux soldats pour qu'ils débarquent, enfin, ils devaient sacrément se serré entre la petite marche et le hummer derrière . Alendo fit descendre Ray le premier laissant le temps au caporal de reprendre ses esprits . Ray descendit sans trop de difficulté, étant été plusieurs fois parachutés, c'était une habitude puis il leur fit signe que c'était bon . Après était suiit les deux SEALS, Alendo et Lopez qui avait failli par tomber de la corde au début .

Pilote Pivot 3 : De Pivot 3 à Pivot 2, larguez une partie de vos hommes prés de la zone du crash et cherchait une Zone d'Aterrisage pour débarquer le reste qui les rejoindront plus tard, terminé . De Pivot 3 à QG, un de nos chinooks s'est écrasé, on entame une mission de récupération pour chercher les éventuels survivants terminé . Du cockpit et des hublots, tous suivirent les mouvements au sol, aussi, le lieutenant Alendo envoyé un message radio aux autres troupes aux alentours .

Lieut.Alendo : Appel aux unités perdues dans ce secteur, ici le lieutenant Alendo Woonel, demandons de l'aide pour se diriger vers la zone du crash pour sécuriser les lieux . Si vous êtes surchargés ou que vous avez un ordre de haut rang à tenir, ne bougez pas de vos positions, on arrivera plus tard .Puis il raccrocha et fit à ses soldats de faire mouvement, Allez en avant ! Ray en pointe !

Ray passa devant avançant prudemment suivit de Oz . S'avançant petit à petit vers la zone du crash, il entendait au loin des coups de feu, des bruits d'arme automatiques aussi . Il regarda derrière si ce n'était pas l'un des leurs qui avaient eu des accrochages mais non .

Ray : D'où viennent ces tirs ? Il y'a des équipe avancée ?

Oz : J'en sais rien, on dirait que sa vient de la ville...Vite ! Faut se grouiller avant que ces saloperies dégustent l'équipe Echo et Kilo en guise de casse dalle .

Le groupe avança un peu et attendit que Pivot 2 fassent descendre les soldats . Pivot 3 commença à dégager des lieux et partit à la recharge d'une zone de largage . En attendant, le lieutenant fit signe à Ray et Oz de partir en éclaireur vers le lieux de l'accident . Les deux rangers se hâtèrent vers leur objectif mais un peu plus loin, ils tombèrent net face à quatre zombies qui étaient en train de déguster leur amuse-gueule . Ils firent juste une grimace mais quand ils virent l'un des quatre se retourner vers eux, il s'accroupirent et épaulèrent leurs M4 et commencèrent à tirer, le réflexe de tout soldat face à n'importe quelle menace . De suite, les zombies tombèrent au sol par l'impact des balles . Ray poussa un soupir mais écarquilla les yeux quand il les vit se relever et se retourner vers eux . Oz lui, ressentit les mêmes choses qu'il avait ressentit dans l'hélico, l'envi de vomir en voyant les têtes déchiquetées des zombies, leurs bouches sanglante, la langue pendouillant et quelques bout de chairs entre leurs dents . Ray retira une rafale de balle sur eux mais sans effet, l'impact des balles ne faisaient que les ralentir . Face à ces réactions, Ray recula faisant signe à Oz de faire de même .

Ray : Mais c'est des balles plastiques ou quoi ?

Là, Oz se calma un peu et fit l'effort d'épauler stablement son arme, inspira un grand coup, aligna son yeux et son viseur et visa entre les deux yeux du zombie le plus proche et appuya sur la détente . La balle partit toute droite vers la tête du zombie qui partit en éclat et la créature tomba raide morte au sol . Puis il cria bien fort .

Oz : Faut faire comme dans les jeux vidéos ! Faut leur tirer dans la tête !

Ray l'avait comprit et de suite, il se mit à faire de même avec les trois autres . une fois les monstres achevaient ils continuèrent, Alendo avait entendu les tirs et leur demanda un rapport .

Lieut-Alendo : Ray, Oz ! Sa venait de vous ces tirs ? Répondez !

Ray : Oui Lieutenant, on a eu un contact avec 4 zombies, on les a achevé maintenant on continu .

A cet instant, le petit coréen pensa à quelque chose, si il y'avait 4zombies ici, combien il y'en a plus loin ? Ou plutôt, combien il y'en a en route vers le chinook ? Il faut bien l'avouer, quand il s'est écrasé, il a dû faire un sacré boucan qui a dû alerté les rôdeurs inhumains aux alentours . Sur le chemin, ils croisèrent aussi bien des civils paniquaient qui couraient à toute jambe fuyant les zombies après avoir été spectateur d'un démo de leur part . En voyant les deux américains, certains se jetèrent sur eux implorant leur aide .

Citoyen japonais : Par pitié, aidez-nous ! Ils ont dévoré plusieurs personnes au centre commerciale ! C'est une horreur Aaaaaah .

Oz lui eut des difficultés avec certains, car il ne savait pas parler le japonais et il ne avait trois sur les bras .

Oz : Ray ! Tu comprends quelques choses ?

Ray : Oui ! Mais lâchez-moi ! Continuez de courir derrière nous et éloignez-vous le plus vite possible d'ici ! Il y'a un barrage pas loin et on y évacue les civils allez-y !

Ray mentait bien évidemment mais il se disait que dire qu'ils allaient droit dans la gueule du loup les emmèneraient avec eux ne leur ferait qu'un poids à porter . Sachant parler japonais, Ray cria dans sa voix aigu et le plus fort possible aux japonais de fuir le plus loin possible et de rejoindre le point d'évacuation .

Ray : A TOUS ! REJOIGNEZ LE BARRAGE MILITAIRE UN PEU PLUS LOIN POUR ETRE ÉVACUEZ ! Oz fait leur signe de courir derrière nous !

Oz : Ok !

A ces mots, Oz fit signe de la main pour dire à toute la foule de se diriger vers le Sud . Quand soudain, il homme tomba par terre parmi la foule, sa femme vint à son secours pour le soulever l'implorant de se relever mais d'un coup, elle poussa un cri de stupeur et recula de lui, mais à peine relever, elle trébucha . Les talons hauts c'étaient vraiment pas les chaussure à porter dans ces cas extrême . Son mari, ou plutôt, son ex-mari était devenu l'un d'eux, en regardant son pantalon déchiré, on devinait qu'il s'était fait mordre à la jambe . Le regard vide blanchâtre avait surprit son ex-femme . D'un coup, il bondit sur elle, Oz voyant la scène s'empressa de tirer, parmi les rafales, une balle fit mouche et le sang s'éparpilla sur les vêtement de la dame avant qu'il eut le temps de la mordre . De suite, le soldat se précipita à son secours, il la saisit par le bras et l'emmena hors de la course des japonais risquant de se faire piétiner . Ray, ayant entendu les coups de feus se retourna et le vit agir mais fut en désaccord du faite qu'il la portait hors des autres civils .

Ray : Qu'est-ce que tu fais ? Tu ne vas pas la faire venir avec nous ? C'est trop dangereux !

Oz : Je sais sergent mais elle allait se faire piétiner par la foule .

La femme, encore toute tremblante se colla plus vers les bras du soldat le trouvant réconfortant et commença à verser ses larmes, elle avait peur et n'arrivait pas à accepter ce qu'il lui arrive . Ray par la suite, en vit un autre tomber et encore un et encore un . Oz suivit ce qui se passait aussi, les deux devinèrent que parmi la foule il y'avait des futurs-zombies . Là, Ray parla sur le canal radio de l'équipe d'une voix lente et inquiétante .

Ray : A tout le groupe, tenez-vous prêt, on est en plein dans la zone de quarantaine .

Non seulement il y'avait cela mais Ray se demanda, repensant à la situation, si le lieutenant Alendo ne risquait pas de passer à la cours martiale après avoir agit indépendamment . C'est vrai, l'état-major ne lui a pas dit d'aller chercher des soldats sous une carcasse . Cela voulait dire que si, durant cette mission, des pertes seraient sur le dossier, son supérieur risquait gros si les officiers cherchaient de quoi se ronger les dents .



[Désolé pour ce pauvre RP mais j'ai dû le refaire 3fois car j'oublié toujours d'envoyer avant d'éteindre mon ordi ]
Revenir en haut Aller en bas
Kunio Harrison
Survivant(e)
Kunio Harrison


Messages : 18
Date d'inscription : 08/05/2010
Age : 39
Localisation : Lille

Feuille de personnage
Taille: 1m82
Date RP: jour 1, 12h
Arme(s) :: carbine M4, pistolet M9

Bienvenu en enfer ! Empty
MessageSujet: Re: Bienvenu en enfer !   Bienvenu en enfer ! Icon_minitimeJeu 17 Juin - 20:55

Alors que les marines se préoccupaient de récupérer le matériel qui leur avait échappé dans les acrobaties, Harrison se rua vers le hublot pour essayer d'apercevoir l'avion qui avait manqué de les percuter. Celui-ci Volait de plus en plus bas, pas comme si le pilote avait perdu le contrôle mais comme s'il voulait se poser en plein milieu de la ville : tout droit, engagé dans une lente descente. Il le perdit de vue après quelques secondes mais il ne se faisait pas d'illusions sur le sort qui l'attendait. Tokyo n'avait vraiment pas besoin d'un crash en plein centre-ville avec le chaos qu'elle connaissait déjà, mais elle n'allait pas avoir le choix.
Si la situation n'était pas déjà bien plus critique que les quelques dizaines de morts en sursis qui descendaient vers leur fin, il aurait frémi à l'idée de la dévastation. Mais cela ne serait malheureusement qu'une goutte d'eau si l'ampleur de l'épidémie était bien ce qu'ils commençaient.

Une agitation soudaine derrière lui le détourna de ses considération morbides. Les marines se tenaient à l'entrée du cockpit, captivés par les échanges à la radio. Une flopée de jurons se fit entendre.


"Qu'est-ce qu'il se passe encore ?"

Jones avait une mine d'enterrement. Il n'avait pas vu quelqu'un aussi sombre depuis ses campagnes dans la jungle sud-américaine.

Jones - "Pivot 3 a viré trop sec pour éviter ces salauds et ils se sont pris un immeuble."

Le bruit de la chute de Pivot 3 sembla irréaliste, comme trop puissant et top lointain. Harrison réalisa qu'il devait s'agir du crash de l'avion de ligne. Les deux tragédies s'achevaient au même instant, par un curieux sens de la simultanéité. Jones avait littéralement arraché son casque radio au copilote pour suivre les échanges et contacter le lieutenant Alendo. De ce que ses hommes pouvaient entendre, au moins un soldat avait survécu au crash. Les officiers avaient l'air d'avis de débarquer une équipe pour porter secours aux rescapés. De toute manière il ne pouvait en être autrement, l'armée américaine n'abandonnait pas les siens derrière. La pensée de les savoir bloqués dans la carcasse, se vidant de leur sang ou attendant l'arrivée des zombies qui mettraient fin à leurs souffrance était insupportable. Le sergent revient vers ses hommes.

Jones - "Le lieutenant Alendo va prendre deux équipes avec lui et descendre pour porter secours aux gars en bas. Pour nous ce sera celle du caporal Harrison. Je prends le commandement du reste, nous allons continuer pour trouver une zone dégagée, nous poser et revenir sur le site du crash. L'hélico descendra aussi bas que possible mais il faudra finir à la corde. Bonne chance, nous serons là rapidement."

La porte arrière du Chinook était déjà en train de s'abaisser. Les marines déroulèrent les cordes entreposées à l'arrière, les arrimèrent solidement avant de les jeter dans le vide. Dremond Se saisit de la corde en premier tandis que ses équipiers guettaient le moindre signe d'agitation au sol, l'arme prête à servir si on zombie pointait le bout de son nez, attiré par le bruit. Harrison passa en second, il était à peine au sol que déjà il se ruait vers le couvert le plus proche, une voiture abandonnée, pour couvrir les hommes en descente. De l'autre côté de la rue, Dremond était lui aussi en position.
Dès que les cinq marines furent au sol, ils se mirent en mouvement pour rejoindre l'équipe du lieutenant qui se trouvait quelques dizaines de mètre plus haut sur l'avenue. Ils formeraient l'arrière garde le temps d'arriver jusqu'à Pivot 3. Quelque part à l'est des tirs fusaient. probablement les unités de police qu'ils allaient soutenir. Pour le moment ils résistaient encore, mais les tirs semblaient nourris, leur situation ne devait pas être plus brillante que celles des Américains. En revanche tout était silencieux pour le moment à l'avant. Les zombies devaient être trop pris dans les affrontements avec la police pour s'occuper d'eux.

Harrison secoua la tête. Il pensait aux zombies comme à des insurgés qui s'attaquerait à la police pour s'emparer d'armes ou tout simplement pour s'en débarrasser. Rien n'aurait pu être plus faux. Ils n'avaient pas de plan, pas d'intentions. Il faudrait garder cela à l'esprit s'il ne voulait pas commettre d'erreur de jugement.

Soudain une rafale se fit entendre devant. Les échanges radio des rangers lui apprirent que leurs hommes de tête étaient tombés sur quelques morts-vivants et les avaient traités.

Les tirs n'attiraient pas que les zombies. Quelques Japonais avaient entendu les coups de feu et les avaient pris pour la promesse de secours. Ils couraient vers les marines, les suppliant des leur venir en aide.


"Barrez-vous ! Rentrez chez vous, allez vous planquer et foutez vos meubles devant votre porte. On reviendra vous chercher quand on en aura fini."

Son injonction n'avait pas fait grand effet. Les civils venaient toujours vers eux.

Bahr - "T'es pas d'origine japonaise ? Pourquoi tu leur parle pas ?"

"Ça fait douze ans que j'ai pas parlé japonais. Je vais pas m'y remettre maintenant qu'ils sont en voie de disparition."

Un bon dessin vaut mieux qu'un long discours. Ou une bonne rafale. Harrison lâcha trois cartouches au dessus des têtes. Les civils comprirent que le moment d'acclamer les sauveteurs américains n'était pas encore venus et prirent leur jambe à leur cou pour repartir d'où ils venaient.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Bienvenu en enfer ! Empty
MessageSujet: Re: Bienvenu en enfer !   Bienvenu en enfer ! Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Bienvenu en enfer !
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Bienvenue en enfer...
» Briefing avant l'enfer...

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: "Bâtiments et maisons"-
Sauter vers: